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Nommé à plusieurs reprises au Mercury Music Prize, Villagers, alias Conor O'Brien, est l'un des plus brillants songwriters de sa génération. Entre pop et folk, ses albums ont été encensés par la critique et certains de ses morceaux ont d'ailleurs figuré dans la série à succès Big Little Lies. Mixé par David Wrench (Frank Ocean, The XX), Fever Dreams est une évasion et fonctionne comme tous les meilleurs disques : il vous transporte, il vous prend là où vous êtes et vous dépose ailleurs. Inspiré par David Lynch, la poétesse Audre Lorde et le jazz de Duke Ellington et Alice Coltrane, Villagers approfondit la maîtrise de ses compositions pour délivrer un album généreux, épatant et grandiose.

Le 4 juillet 1970 jour de la fête nationale américaine, le Jimi Hendrix Experience monte sur la scène du festival Atlanta Pop. Jimi Hendrix, Mitch Mitchell et Noel Redding vont jouer devant la plus forte affluence américaine de toute leur courte carrière. Cette nuit-là, Jimi Hendrix va jouer le Star spangled banner, l'hymne Américain et rentrer dans la légende de la musique populaire US. Malgré des problèmes techniques le trio est cette nuit-là en grande forme, et va livrer un concert de toute beauté. 11 des 16 titres présents sur ces deux disques n'étaient alors disponibles que dans le coffret Stages, coffret depuis longtemps épuisé. C'est donc 16 titres qui sont proposés cette fois ci dans ce digipack, le remastering ayant été comme de coutume assuré par Eddie Kramer l'ingénieur du son attitré de Jimi Hendrix.

Après sa prise de bec avec Noel Gallagher et s'être fait une petite place sur l'album de The Prodigy (The day is my enemy), le duo présente cet opus dont Jason Williamson précise qu'il aura son petit côté abstract, et traitera toujours généreusement de la désorientation de l'existence moderne, de son illusion de la grandeur jusqu'à l'inutilité de la politique du gouvernement.